Ce 20 septembre 2024 la météo s’annonce bonne, toute la semaine le temps était sec, toutes les conditions sont réunies pour effectuer cette 16ème étape de Paccot aux Rochers de Naye, une étape courte mais considérée difficile sur un chemin de montagne (pour un papy proche de 78 ans). Le tronçon Paccot – Haut de Caux commence en descente.

Depuis les Haut de Caux montée en pente douce et le but semble très loin !

Avec des points de vue magnifiques de tous côtés !

Puis un tronçon très agréable dans la forêt en montée assez soutenue et régulière!

Avec la vue sur la Tour de Mayen et la tour d’Aï !

On s’approche de Sautodoz et nous serons à environ 30 minutes du sommet !

Un dernier effort pour atteindre le but !

Arrivée aux Rochers de Naye !

Au fond de cette galerie se trouve le restaurant panoramique Plein Roc, ouvert en pleine paroi verticale des Rochers-de-Naye avec deux terrasses à plus de 2’000 mètres d’altitude, il a été inauguré en 1985.

Je me réjouis de vous retrouver pour l’étape 17, Les Rochers de Naye – Rossinière d’une longueur de 18.47 km. Peut-être l’année prochaine. Mon planning n’a pas été respecté !

Ce mercredi 28 août, la météo est parfaite. La journée s’annonce bien pour une belle balade. Départ du train de Lausanne à 6h21 en direction de Montreux, puis les Bains-de-L’Alliaz. Les 4 derniers kilomètres de l’étape sont une montée d’environ 15 %.

L’étape commence par une belle grimpette, puis cela cela se calme un peu !

A la sortie de la forêt on arrive au chalet Lautaret.

Une heure et demi plus tard on aperçoit la Dent de Jaman dans toute sa splendeur !

Les Avants

Quel passé glorieux pour ce Village !

Le village fut l’une des premières stations de ski de Suisse. Au XIXe siècle, la station connaît un certain développement touristique avec l’édification des premiers hôtels par la famille Dufour. Le percement du tunnel de Jaman en 1905, qui réalise la liaison ferroviaire avec le Pays d’Enhaut va permettre un fort développement touristique de la station jusqu’à la première guerre mondiale, notamment avec la collaboration de l’architecte Louis Villard. Desservi par l’un des premiers chemins de fer électrifiés à forte pente et sans crémaillère, le village est une destination prisée des Anglais. Il abrite également la première piste de bobsleigh de Suisse (qui deviendra ensuite piste de luge) ainsi qu’une patinoire. C’est sur celle-ci, qui était en fait des courts de tennis transformés en patinoire situés au contrebas du « Grand Hôtel des Avants », que se disputa le premier championnat d’Europe de hockey sur glace en 1910.

Aux Avants, il est encore possible d’admirer ce qui fut le premier vestiaire d’une équipe de hockey en Suisse. Une petite cabane perdue au milieu d’un champ, sur le seul endroit vraiment plat du village. Un champ qui – il y a plus d’un siècle – était la patinoire du fier HC Les Avants. Notons enfin que la patinoire naturelle du village a survécu jusque dans les années 1990.

Un hommage à la gare des Avants pour services rendus !

Et avant d’entreprendre les 4 derniers kilomètres de montée, ce minuscule chalet au bord de la rivière, nommée la Baye de Montreux !

En se dirigeant vers la fin de l’étape, on admire une magnifique maison d’alpage.

Et au pied de la Dent de Jaman, l’arrivée est proche !

Un dernier regard sur la vue splendide !

Et l’arrivée à Paccot.

A la prochaine pour l’étape 16. Paccot – Les Rochers de Naye environ 8 km et beaucoup de montée !

Le vendredi 16 août 2024, la météo est avec moi. C’est parti pour la 14ème étape qui me conduira aux Bains de l’Alliaz, en passant par les Pléiades, avec un point culminant à 1248 mètres d’altitude et une longueur de 16,43 km. Beaucoup de montée en perspective !

Cette fois la montée commence et je m’accroche ! Une vue sur le canton de Fribourg avant le point culminant des Pléiades !

Un brin d’histoire !

Reconnue miraculeuse pour soigner les galeux dès le XVIe siècle, la source d’eau sulfureuse de l’Alliaz, située sur les hauts de Blonay à 1040 mètres d’altitude, a vu se développer un établissement de bains au cours des XIXe et XXe siècles. Quelques hôtes illustres y ont séjourné, comme Ernest Hemingway en 1922 qui décrit l’ambiance de son café dans le roman L’Adieu aux armes. Exploités jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale, les Bains de l’ont été transformés alors en un immeuble locatif dans lequel s’installa à la fin des années septante le peintre et sculpteur Jean Hirtzel. Fortement attachée à ce lieu, son épouse vient de publier un livre qui retrace toute l’histoire de ces bains.

Après une longue pause due principalement aux conditions météorologiques de ce début d’année 2024, je reprends mon bâton de pèlerin ce vendredi 26 juillet 2024 pour la 13ème étape du Vaud Tour, qui en comptera 22. J’espère terminer mon périple à la mi-octobre 2024 !

La météo est avec moi, en route pour le Mont-Pélerin !

Sur le chemin, tout est prévu pour une petite halte bienvenue !

Après avoir franchi le Mont-Chesau, j’arrive à la buvette qui se présente de la façon suivante : 

Située à 956m d’altitude, la buvette du Mont-Chesau propose une cuisine authentique du terroir avec des produits frais de la région, à une vingtaine de minutes de Vevey, Châtel St-Denis ou même de l’entrée de Lausanne.

Les plats aux fromages sont à l’honneur avec des croûtes au fromage, fondues, cordon bleu ou encore des röstis à la tomme de vache ou de chèvre.

Une vue panoramique depuis le sommet du Mont-Chesau, à 5min de la buvette, vous permet de voir autant les alpes que le lac Léman et le Jura.

Et pour ceux qui désire faire un bowling à l’ancienne !

Une vue magnifique de cette belle région du Mont-Pélerin !

Fin de l’étape 13, que j’ai faite avec un grand plaisir. À très bientôt pour l’étape 14 !

Ce dimanche 1er octobre c’est parti pour la 12ème étape de Vaud tour, je pense que j’ai fait les 2/3 du périple qui se terminera vraisemblablement l’année prochaine ! Très vite je retrouve mon amie La Broye à Moudon avec une légère brume du matin.

La nature parle d’elle même, il n’y a rien à ajouter !

C’est ici que je me suis perdu, ce qui a rallongé mon parcours de 3 km !

Une parfaite signalisation me remet sur le bon chemin !

Mézière et son fameux Théâtre du Jorat avec la programmation de la saison 2023 !

Le Théâtre du Jorat a été créé par René Morax en 1908. Le bâtiment est construit entièrement en bois, ce qui assure son intégration avec les fermes avoisinantes. Il est surnommé la «Grange Sublime» ou encore le «Palais en bois» par les habitants de la commune. Le bâtiment est inscrit comme bien culturel suisse d’importance nationale. Le Théâtre du Jorat s’impose à plus d’un titre comme un véritable trésor du patrimoine culturel vaudois, romand et helvétique.

Mon chemin se poursuit par Servion devant le Grand Café Théâtre de Barnabé.

Histoire (Wikipédia)  

Le bâtiment originel a été construit en 1740 pour accueillir l’auberge communale de Servion. Il a été acheté en 1865 par la famille Pasche pour y installer un restaurant et une exploitation agricole. En 1920, le propriétaire aménage une grange attenante comme salle de spectacles utilisée par la commune pour les soirées des sociétés locales ainsi que comme cinéma ambulant. En 1965, Jean-Claude Pasche, petit-fils du créateur de la salle, rouvre celle-ci pour y organiser une fête annuelle.

La première édition de la revue de Servion est organisée sur place par Jean-Claude Pasche en 1968 en collaboration avec Jacques Béranger, ancien directeur du Théâtre municipal de Lausanne elle connaît un début difficile avec seulement 600 spectateurs, mais trouve rapidement son rythme de croisière. Devant le succès, une nouvelle salle de 500 places est construite en 1980 ; incendiée en partie, elle est reconstruite en 1994 et devient le plus grand Café-théâtre de Suisse.

La salle est équipée en 1998 d’un orgue qui est le plus grand orgue de cinéma théâtre d’Europe et le plus grand orgue symphonique de Suisse avec 150 jeux. L’instrument, qui appartenait originellement au cinéma Apollo de Zurich, a été baptisé « Barnabé » lors de son installation ; par la suite, ce nom a été donné à la salle de spectacle ainsi qu’a son propriétaire et directeur Jean-Claude Pasche.

En 2005, la Fondation Barnabé est créée et devient par la suite propriétaire du Café-théâtre et du bâtiment abritant le restaurant « La Croix Blanche » et la salle de spectacle de 150 places « La Grange à Pont ».

En 2018, Noam Perakis, co-directeur de la Compagnie Broadway, prend la tête du théâtre, donnant une direction de programmation axée essentiellement sur le théâtre musical pour en faire LE théâtre de la comédie musicale en Suisse romande.

Un dernier coup d’oeil sur cette magnifique campagne dans la région de Palézieux Village et en route pour Palézieux Gare.

Palézieux Gare, terminus de la 12ème étape !

Merci de votre fidélité et à bientôt pour la suite de cette magnifique découverte pour moi !

Il est presque 8h15 ce jeudi 7 septembre 2023, départ de Payerne en direction de Moudon, pas un nuage et au programme environ 22 km sous le soleil exactement !

Au centre de Payerne les travaux de revitalisation de la Broye sont en cours !

D’une puissance de 6 MWp, cette installation couvrira les besoins de près de la moitié des 9800 habitants de la cité vaudoise. D’une surface totale de 38’000 m2, les panneaux solaires généreront chaque année six millions de kilowattheures.

Le coût du champ solaire s’élève à huit millions de francs. La centrale solaire a été mise en service en 2015.

Installés en hauteur sur une structure métallique légère, les modules photovoltaïques ont une emprise sur le sol très faible, ce qui permet d’utiliser le terrain pour des activités agricoles. Il sert ainsi de pâturage pour une trentaine de moutons. A la fin de la durée de vie de la centrale, estimée à 25 ans, la surface utilisée se trouvera dans son état original.

Situé en zone industrielle, le terrain reste constructible. Dans l’hypothèse où des entreprises devaient s’y installer, les modules photovoltaïques pourront être installés sur les toits des nouveaux bâtiments.

Maintenant je vous laisse découvrir quelques photos de ces 22 km sans jamais quitter ce cours d’eau !

La fin de l’étape 11 est proche, j’aperçois les premières maisons de Moudon !